La Nouvelle-Zélande, de par sa richesse patrimoniale et sa généreuse nature, offre à tous ses visiteurs, la joie de la découverte. Elle exaspère tous les amoureux de beaux paysages et les fanatiques des campings sauvages. Mais, pour faire du camping sauvage dans ce pays, il faut au préalable s’y rendre. Et pour cela, vous vous devez de remplir les procédures administratives, qu’est la demande de visa. Cette dernière constitue parfois un casse-tête pour les futurs voyageurs. Découvrez dans cet article, un moyen facile de vous y rendre.
Voyagez en Nouvelle-Zélande : la demande de visa d’abord !
La Nouvelle-Zélande représente un îlot d’espace de détente, pour tous les amoureux d’amusement et de détente. Toutefois, avant de s’y rendre, pour pouvoir bénéficier de tout le privilège qu’offre ce pays, il faut d’abord faire la demande de visa. Outre le passeport, tout ressortissant Français se doit d’être en possession d’une ETA. Encore appelée NZeTA, cette autorisation est obligatoire pour tout individu voulant séjourner en Nouvelle-Zélande. Vous pouvez vous passer d’une telle autorisation, si vous avez un passeport australien ou néo-zélandais, ou si vous détenez un visa néo-zélandais valide.
Les touristes venant de part et d’autre de la planète, seront taxés d’environ 20 €. C’est une décision qui a été prise depuis le 1er juillet 2019. Il s’agit de « International Visitor Conservation and Tourism », encore appelée Levy ou IVL. Cette taxe est destinée à réaliser des projets de tourisme durable dans le pays. La bonne nouvelle, est que Actions-Visas se propose de vous aider à obtenir le visa électronique pour la Nouvelle-Zélande. Apprêtez-vous et venez faire le plein de sensations, avec les campings sauvages du pays Néo-Zélandais.
Qu’appelle-t-on camping sauvage ?
Le camping sauvage est une forme de camping pratiquée en pleine nature, dans un lieu qui n’est pas (ou peu) aménagé pour cette activité. Suivant les législations, il peut être interdit, autorisé, ou limité au bivouac (camping sauvage d’une nuit, du coucher au lever du soleil). Le camping sauvage n’est autorisé que sur les terrains publics protégés. On ne peut donc pas camper n’importe où. Il faut rigoureusement suivre les zones de conservation de la Nouvelle-Zélande, pour connaître les zones interdites d’accès et ne pas s’y approcher. Une carte a été spécialement conçue par le Département de Conservation. Sur cette carte, on peut voir les nombreux sites où il est interdit de camper. Cette restriction des zones où camper, a été faite dans le but de protéger les espèces vulnérables.
Vivez en pleine nature, au camping sauvage !
Les sites où il est possible de camper, doivent être ciblés. Toutefois, vous devez encore veiller à ce que votre camping-car soit certifié autonome et s’il peut être utilisé sans crainte pour le camping sauvage. Pour savoir si un camping-car est certifié autonome, il suffit de repérer la mention « certifié autonome » dans les critères du véhicule ! Prenez soin de ramasser et de remballer tout ce que vous déballez, afin de permettre aux futurs campeurs de profiter du lieu autant que vous. Choisissez bien l’emplacement de votre tente. Vous voilà en pleine nature, où vous pouvez jouir intensément de la belle vue qu’offre le paysage ! Visitez les monts Glaciers et profitez de l’environnement.